Après le report des votations initialement prévues en mai dernier pour cause de pandémie mondiale, le peuple Suisse va trancher sur divers sujets d’importances diverses mais aussi pour un projet répondant non seulement à une véritable logique mais également à une réelle nécessité : Permettre aux nouveaux-nés de bénéficier, dès leur retour dans le foyer familial au sortir de la maternité, de la présence conjointe de la maman et du papa.
Actuellement, à la naissance d’un enfant, les mères qui travaillent ont droit à un congé payé de 14 semaines, tandis que les pères n’ont droit qu’à un ou deux jours. Fichtre !
Les modifications de la loi sur l’APG assureraient au géniteur deux semaines de congé paternité intégralement financées. Sur le papier cela semble répondre à une logique évidente. Cette évidence ayant déjà fait ses preuves dans les pays nordiques, toujours à la pointe du modernisme. Cela semble plausible de comprendre les besoins de la maman, la nécessité du bébé d’immédiatement entrer en phase avec le père et cette avancée ne devrait pas péjorer les entreprises helvétiques. De fait, il en reste qu’à faire le bon choix le 27 septembre prochain.
